Une partie de l’information que les médecins confient à leur patients peut involontairement amplifier les symptômes, être source de stress somatique, un effet qui doit être compris par les médecins pour optimiser la gestion des soins aux patients. Cet effet illustre le potentiel iatrogène de l’information, par analogie au potentiel iatrogène des médicaments et des procédures.